Sous le voile du soir où les songes s’éveillent,
Je vois Vénus scintiller parmi les cieux,
Sa lumière danse et illumine les merveilles,
La nuit se déploie, profonde et silencieuse.
Elle effleure l’aube d’un souffle doré,
Un parfum de rêve flotte dans satin,
Son éclat fragile vient l’ombre caresser,
Le monde s’éveille au premier chemin.
Mais Sirius surgit, flamme d’azur éternelle,
Son feu traverse l’ombre et le temps oublié,
Il veille sur nos âmes d’une lumière fidèle,
Dans son éclat pur, tout cœur peut s’abriter.
Son nom murmure aux confins des grandes sphères,
Il fait frissonner l’obscur mais aussi le silence,
Dans l’empyrée cuivrée, il déploie ses lumières,
Et s’impose au ciel comme un souffle immense.
Quand Vénus disparaît dans l’or du matin,
Sirius brûle, gardienne de mes désirs,
Son éclat traverse l’ombre jusqu’au lointain,
Et m’enlace d’un feu que nul peut détenir.
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