Dans la danse légère du temps qui file,
L'insouciance tisse un doux exil,
Sous un ciel calme, sans poids ni chaîne,
Les rires s'envolent, éclats sans peine.
Les jours défilent, légers comme des plumes,
Dans ce monde où les soucis s'allument.
Pourtant, l'insouciance reste un refuge,
Un abri tendre, une douceur diffuse.
Ainsi, dans le bal incessant des heures,
L'insouciance, bonheur qui demeure.
Chante la chanson de l’actuel éphémère,
Où l’âme s’égare, libre, comme la mer.
Les journées glissent, légères et folles,
Égrenant les minutes de la farandole,
Pas de fardeau, juste l'instant présent,
L'insouciance, douce mélodie du vent.
Sur les ailes des rêves, notre belle vogue,
Écartant les nuages, laissant derrière l’épilogue,
Instants dorés, pépites dans le mouvement,
L'insouciance tisse l’idéal, éternellement.
Les peurs s'évanouissent, brumes dissipées,
L'insouciance, sarabande de l'instant choyé.
Sous le ciel clément, tisse une toile enchantée,
Le souffle respire, en toute frivolité.
Mais souviens-toi, frêle ivresse,
L'insouciance, parfois, s'éclipse et laisse.
Alors, chéris chaque moment précieux,
Dans le livre du temps, grave ces épisodes heureux.
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