Au seuil d’un siècle d’ombres et d’éclats,
Naquit un sculpteur au regard apaisé,
Dans un monde où l’acier brûlait sous ses pas,
Il choisit la forme, la grâce et la clarté.
Loin des fracas vifs, loin des ornementations,
Sa main traça l’essence des courbes féminines,
Dans le marbre et le bronze, en pures créations,
Naquirent des formes à la beauté divine.
«La Méditerranée », en silence figée,
S’élève en majesté, paisible et souveraine,
La « Terre Mère » ronde, d’une grâce engagée,
Nous parle de l’éternel, de la force ancienne.
« La Nuit » doucement pose un voile mystérieux,
« L’Air » danse, s’élance, léger comme un vent,
;;;;;;;;;;;;;;Ton œuvre, ô combien, traverse les cieux,
Portant aux âmes lourdes un souffle apaisant.
De Paris aux jardins où l’art se fait lumière,
Tes formes rayonnèrent, conquérant les hauteurs,
Musées, places, portent ton souffle sincère,
Ton génie s’élève en voix emplies de splendeur.
Dans les vents catalans , tu deviens repère,
Un phare dans la brume, un souffle d’univers,
Tes sculptures nous parlent d’une paix prospère,
D’une humanité retrouvée, d’une douceur légère.
J’aime ça :
J’aime chargement…