Dans le calme d'une campagne tranquille,
Un village prospérait, en paix, sans faille,
Oradour-sur-Glane, jadis lieu d'asile,
La vie suivait son chemin, sans bataille.
Mais, le 10 juin 44, le ciel s’est assombri,
Les flammes de la guerre ont déferlé,
Un orage de haine et de barbarie ,
Sur ce bourg paisible, tout fut brûlé.
Les murs effondrés, les cœurs ont hurlé,
Le souvenir d'un massacre, à jamais inscrit.
Des vies arrachées, dans un instant figé,
Un génocide atroce, en ce jour maudit.
Hommes, femmes, enfants, tous innocents,
Emportés par la furie, sans pitié, sans retour,
La cloche du village sonnant le glas des ans,
Chaque pierre, chaque ruine, se lamente toujours.
Rues désertes, maisons dévastées,
Gardent les échos de la sauvagerie,
Un sanctuaire de mémoire, un cri à jamais,
Pour que nul n'oublie la terreur de la tragédie.
Préservons à jamais la mémoire vive,
Des âmes sacrifiées pour un monde meilleur,
Que la paix soit notre but, nos prérogatives,
Que plus jamais ayons à vivre cet horreur.
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