Dans le parc de La Rochepleine, un arbre époustouflant,
Trônant tel un roi en ces lieux, appelé Cèdre du Liban,
Majestueux et altier, un colosse de la nature,
Emblème de force, une splendeur, une grandeur si pure.
Ses branches s'étirent comme des bras protecteurs,
Ombrageant le sol de leur manteau rassurant, sans peur,
Son écorce centenaire, telle une armure de géant,
Affronte dignement saisons, tempêtes et temps.
Sous son ombre protectrice, le parc respire la sérénité,
Les sentiers sinueux invitent à la rêverie, à la beauté.
Les chants des oiseaux se mêlent au murmure du vent,
Créant un air si doux, envoûtant et divinement charmant.
Les enfants jouent à ses pieds, respectant ce titan,
Les amoureux s'y promènent, s'arrêtant pour un instant,
Les pas des flâneurs s’y font légers, l’esprit apaisé,
Se laissant guider par cette éternelle somptuosité.
Arbre centenaire, au coeur du parc, tu trônes,
Patriarche silencieux, témoin de tant d’automne,
Symbole de robustesse et de sagesse à la fois,
A la Rochepleine, tu rayonnes, fier et droit.
Tes petits lacs brillent, reflets du ciel et de la vie,
Pêcheurs, promeneurs, sportifs, s’y croisent, ravis,
Animant ce paysage, ce décor paisible, ici réunis,
Là où le temps semble figé, dans cet instant précis.
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