DDans l’absurde immense, je cherche une raison,
Mais tout ce que je trouve, un attrape-couillon,
L’univers, c’est un clown avec un grand nez rouge,
Et moi, je trébuche sur des mystères, c’est louche.
Les questions existentielles, c’est comme des devinettes,
La réponse ? Un poisson d’avril qu’on oublie, trop bête,
« Pourquoi sommes-nous là ? » demande l’homme pensif,
Et l’écho répond : « Pour boire un verre et rester attentif! »
La vie, c’est un sketch que l’on joue sans répétition,
On rate des répliques, on oublie les leçons,
Mais dites-moi, qui a écrit ce scénario bancal ?
Sans doute un poète avec un goût pour le brutal.
On se lève tous les jours, comme des héros en quête,
Mais qu’est-ce qu’on trouve ? Une chaussette mal faite,
Le sens de la vie ? Certains diront : « fort déglingué »,
Juste à côté de ce vieux mots croisés mal gratté.
L’amour, c’est un jeu, où les règles sont floues,
On court après des cœurs, on tombe sur des clous,
On croit au grand destin, à l’âme sœur, à l’idéal,
Mais souvent, on finit avec un béguin, un peu banal.
Et le travail ? Ah !!! Quid de cette noble mission !
On rêve de grandeur, on se noie dans les réunions,
Le patron, un chef d’orchestre sans baguette,
Et nous, on joue faux, sans même une clarinette.
Alors on rit, on pleure, on chante pour oublier,
Que l’absurde est partout, même dans le café.
On vit, respire, on fait des plans sur la comète,
Mais au fond, tout ça, c’est un grand casse-tête.
L’absurde, c’est l’homme qui, face à l’inconnu,
Combat l’invisible contre un destin têtu,
Brandit ses espoirs comme un glaive émoussé,
Qui, malgré tout, continue d’avancer.
Finalement, il est comme un stand-up,
La vie nous fait des blagues, mais faut rester dans le club.
On applaudit, on sourit, on continue le show,
Car l’absurde, c’est la Vie en un grand numéro.