Triste sécheresse d’été
Terre craquelée, écho d'une soif profonde,
La sécheresse sévit, le paysage se morfond.
Les rivières murmurent leur triste complainte,
Et le sol se fendille, dans une danse contrainte.
Sous le soleil implacable, la nature soupire,
Les éclats de verdure deviennent des souvenirs.
Les champs autrefois verts, à présent décolorés,
La sécheresse s'étend, tout est fade et désolé.
Animaux assoiffés, cherchant désespérément l'eau,
Leur refuge s'évapore, la vie est devenue un fardeau.
Ecosystèmes déséquilibrés, fragiles et rompus,
La sécheresse laisse derrière elle un triste aperçu.
Les lacs reflètent un miroir de terre crevassée,
Les oiseaux cherchent en vain une eau effacée.
Les plantes plient sous le poids de l'aridité,
La rudesse règne, implacable réalité.
Pourtant, dans cet écrin de pauvreté et de peine,
La vie cherche un moyen, une brèche incertaine.
Les cactus élancés défient le soleil brûlant,
La nature s'adapte, dans ce désert troublant.
Préservons chaque précieuse goutte d’eau,
Equilibre sur lequel tout se fonde, évitons le chaos,
Rappel poignant de ce lien à la Terre, à son essence,
Elle enseigne, à travers les épreuves, la résilience.
J’aime ça :
J’aime chargement…
